Se posant en « mère bienveillante » de son peuple, la souveraine se fie à son instinct pour régner et asseoir son pouvoir, n’écoutant que son ancien précepteur, Emmanuel de Silva-Tarouca. Mais les infidélités de son époux François Étienne lui attirent les railleries de la cour. L’impératrice nomme le père Johannes, un jésuite, à la tête d’une inquisitrice commission de chasteté. Lequel s’en prend au volage mari, qu’il soupçonne en outre d’être franc-maçon. Les époux s’éloignent, Marie-Thérèse succombant à son tour au charme d’un officier…