Birgitte ouvre enfin les yeux sur la maladie de sa fille, qui s’est beaucoup aggravée récemment. Elle se sent alors terriblement coupable. Quand la possibilité de mettre sa fille dans un institut privé se présente, plutôt que d’attendre de longs mois une place dans un hôpital public, elle accepte. Problème : son gouvernement a décidé de privilégier les institutions publiques de santé et de combattre une médecine à deux vitesses qui avantagerait les classes les plus aisées. Parallèlement, Birgitte tente de faire renaître son amour avec Philip, bien que celui-ci soit toujours avec Cecilie….