Un pianiste nord-coréen renommé est accueilli à la Maison-Blanche pour une représentation, mais le caractère cérémonieux change lorsque le musicien glisse un message au président expliquant qu’il ne souhaite plus jouer. En dépit d’une plaidoirie passionnée de C.J., d’autres conseillent Bartlet en lui précisant qu’accepter ce refus ne ferait que compromettre les négociations cruciales en cours avec le pays. Dans le même temps, les autres membres de l’équipe travaillent dur pour faire approuver le nouveau choix du président pour la vice-présidence, soit le membre du congrès du Colorado Robert Russell.